Cadillac Lasalle Club France

First National Driving Tour

First National Driving Tour

First National Driving Tour

Première balade nationale

~ Dimanche le 26 août au
dimanche 2 septembre 2012 ~

« Quel dommage qu’on ne puisse pas continuer ainsi encore deux ou trois semaines. »
Un participant du Driving Tour lors du troisième jour sur la route.

L’idée

Le Club américain organise un Driving Tour chaque année quelque part aux Etats-Unis. L’année dernière il a eu lieu au Texas ou 28 véhicules ont roulé plus de 350 miles(560 Kms) en cinq jours.
Parmi ses objectifs, le club Français souhaite offrir à ses adhérents les mêmes types d’activités (encore que ce soit sur une échelle mineure) qui leur seraient proposées s’ils vivaient en Amérique. Pour notre premier essai d’un National Driving Tour, donc, nous avons pris le Tour de l’année dernière au Texas comme modèle mais avec la volonté de profiter de ce que nous considérons comme nos points forts nationaux : les déjeuners relaxes, la gastronomie Française, les beaux paysages et les hébergements de charme.

Nous avons eu d’abord l’avantage immense d’être en Touraine et en Sologne, c’est-à-dire au centre d’un réseau de beaux petits chemins traversant les forêts à feuilles caduques, à côté des lacs et étangs et en passant par quelques-uns des plus beaux châteaux du Monde : un paradis de calme et de beauté apprécié en particulier en particulier par nos visiteurs des autres pays européens plus frénétiques et surpeuplés que la France.

Les intrépides ‘touristes’ au moment du départ – lundi 9h30 au Château de Planchoury : [de la gauche] Pierre Gravel, James Ayres, Beatrice Gravel, Florence Lecrux, Michel Bessaudou, Georges Goirand, Françoise Bessaudou, Armande Goirand, Sana Moormann, Arvid Moormann, Christian Geismar, Nadine Renard, Wilhelm Döring, Claude Lepron, Sigrid Hofmann, Danielle Lepron, Vincent Dugraindelorge. Rémy et Irène Schyns sont réunis avec le groupe au Mans. – Photo: Florence Lecrux
Les mêmes participants quelques moments plus tard.
(Photo de la collection d’Hôtel de France, La Chartre sur le Loir)

Les équipes

Photo: Wilhel Döring

La doyenne des voitures sur le Tour a été le Coupé de Ville de 1958 de Rémy et Irène Schyns, un couple charmant de Belges qui possèdent leur ’58′ depuis vingt-deux ans. Irène l’a achetée originalement comme cadeaux d’anniversaire pour Rémy. Il a de la chance, ce Rémy-là !

Sans doute, la voiture qui a fait se cogner le plus de villageois contre le réverbère du coin était le fabuleux cabriolet de 1959 d’Arvid et Sana Moormann de Suisse.

Peinte en bleu léger comme les racing cars français des années avant-Guerre, c’est la voiture qui symbolise « Cadillac » pour Monsieur Tout le Monde.

Photo: Rémy Schyns

Ensuite, et relativement modeste, était le Coupé de Ville 1964 du Secrétaire du Club, l’Anglais (mais résident en France) James Ayres. Avant la balade, James a roulé la plupart du périple du Tour dans son camping-car pour s’assurer que les conseils internet de Google et Michelin qu’on a utilisés pour le Road Book étaient fiables. Ainsi, son CdV était la ‘voiture de tête’ pour le Tour et il était accompagné par l’autre organisatrice principale, Florence Lecrux. (Encore un homme qui a de la chance !).

La dernière des voitures full size style Harley Earl était l’Eldorado cabriolet de 1966 de Vincent Dugraindelorge. Ce cabriolet en blanc pèse plus de deux tonnes d’acier de Detroit mais roule avec une légèreté, un silence et une souplesse qu’il est difficile d’imaginer sans rencontrer la voiture.

Photo : Pierre Gravel

Toujours dans le monde de soft-tops, le fidèle cabriolet de Ville de 1970 de Danielle et Claude Lepron était bien connu des participants au Weekend Huitres et Pineau organisé l’année dernière par Danielle. Une bonne révision des freins pendant l’hiver a permis que le Tour soit moins dramatique pour Claude et Danielle que l’événement de l’année dernière.

Photo : Wilhelm Dörind

Le Président de l’affilié CLC allemand, Wilhelm Döring, et le Secrétaire du même Club, Sigrid Hoffman, ont choisi le Driving Tour pour leur première visite officielle en France depuis le Grand Rassemblement de 2010. Même s’ils ont dû voyager depuis les environs de Cologne, leur Fleetwood Brougham de 1973 impeccablement entretenue n’a pas hésité un instant, et ils ont savouré deux jours de pur plaisir en traversant la France qu’ils aiment.

Par hasard, le plus récent des articles de la série du Bulletin ‘Nos adhérents et leurs voitures’ concerne Christian Geismar et son Eldorado Coupé de 1980.

Comme bon ingénieur (et sans que personne ne le lui ait demandé) il a apporté sa boite à outils ainsi que ses bleus – ‘au cas où’. En effet, il n’y a eu aucune panne à déplorer. Par ailleurs, Christian a fondé une belle tradition pour les Driving Tours du futur : la personne qui retarde le départ du groupe paye le premier tour des apéros à l’hôtel de nuit. Bravo, Christian !

On a une sympathie considérable pour Michel et Françoise Bessaudou qui ont participé sur le Driving Tour avec leur impeccable Fleetwood Brougham de 1987 (Nos adhérents et leurs voitures No.8). L’intention originale de Michel était de rouler dans son superbe cabrio de 1965 avec la sellerie toute neuve en cuir américain. Avec l’aide du Secrétaire il a bougé ciel et enfer pour obtenir les peaux avant les congés annuels du sellier – sans réussir. Elles sont arrivées, et de la couleur d’origine, mais trop tard. Tant pis ! Michel et Françoise ont roulé dans un confort, un silence et une ambiance de luxe inimaginable pour une voiture européenne du même millésime.

Comme nous le savons depuis l’enfance, « Un train peut en cacher un autre » mais dans le cas des pannes électroniques sur la STS de 1999 de notre Président, Pierre Gravel, il n’y avait pas moins de cinq pannes distinctes parmi les ordinateurs de bord. Sagement, il a abandonné les garages du coin et amené l’auto chez ‘Jean Charles Automobiles’ de Paris qui ont mis la voiture précisément au point – pour la première fois depuis que Pierre l’a achetée. Avec sa femme, Beatrice, il a eu un super Tour et apprécie comme jamais auparavant les qualités légendaires du moteur NorthStar.

Photo: Wilhelm Döring

Georges et Armande Goirand ne craignent pas les bornes. Parmi les participants français, ce sont eux qui ont fait le plus de chemin pour être parmi le sacré dix du départ de ce lundi matin-là. Leur CTS de 2009 est faite pour les grandes trajectoires et pour les vitesses, voire bien au-delà, du maximum de l’autoroute. Très concurrentielle avec les grandes allemandes et la Lexus, la CTS et ses successeurs (l’ATS etc.) marquent le début du fight back de GM en Europe. Personne ne s’est cogné contre un réverbère à cause du passage d’une CTS, mais, quand même, avec réflexion on voit l’effort affirmé d’incorporer dans sa ligne la grâce des modèles les plus purs de Bill Mitchell.

Les lieux

Le Mans

Photo: James Ayres

Nos championnes ! Jamais mieux mérité, nos femmes et nos compagnes prennent le podium de la victoire au Mans. Il ne manque que le champagne.

Aux noms de Florence Lecrux et James Ayres comme organisateurs du Tour, il faut ajouter celui de Michel Germaine de Sillé le Philippe, à côté du Mans. Michel a un vaste cercle de connaissances dans le monde des voitures classiques et c’est grâce à lui que les participants ont été si bien reçus à la Mecque de la vitesse : le circuit des 24 Heures du Mans. M. Herve Guillomard, ami de Michel et ancien Directeur du circuit, est le guide rêvé : Plein d’informations et pas avare de confidences, avec un grand sens d’humour et qui sait comment truffer les chiffres sur la vaste taille de l’événement avec ses réflexions persos :

Photo : Florence Lecrux

« Sur ces écrans on voit chaque millimètre du circuit. » M. Guillomard devant les écrans du CCTV du circuit. « Oui, pour le weekend des 24 Heures on ne commande pas le champagne par caisses ; on le commande par tonnes. » « Normalement, la police confisque au moins six ou huit cent armes blanches par nuit. » « On estime qu’il y a au moins vingt mille gens du voyage en campement autour du circuit. Ils ne sont pas là pour les voitures. » «Ici nous offrons la plus grande facilité de presse d’Europe. » « Sur ces écrans on voit chaque millimètre du circuit. »

Chaque participant choisira son anecdote préférée de M. Guillomard, mais tousseront d’accord que la visite aux coulisses du circuit était un point fort du Driving Tour.

Chez Michel Germaine : son Coupé de Ville 1956 a guidé le Tour à La Chartre – Photo : James Ayres

Ensuite, une pause à la maison de Michel nous a donné l’occasion de voir une belle gamme de voitures américaines ‘non-Cadillac’ de sa collection (et quelques-unes à vendre) – une Buick Riviera ‘boat tail’ de 1971 et une Thunderbird ‘Thelma and Louise’ entre autres – et prendre un apéro dans sa ‘garçonnière’ pleine d‘Americana.’

Thoré la Rochette

Photo : Wilhelm Döring

Rouler avec un moteur V-12 est rare. Etre propulsé par deux est une expérience qui n’arrive qu’une fois dans la vie. Mais l’autorail touristique qui roule entre Thoré et Troo a deux magnifique V-12 diesel de Renault (probablement de 27Lts chacun) – un à chaque extrémité du véhicule de 52 tonnes. L’autorail était capable de rouler à 120 km/.h, mais notre conducteur nous a limité aux deux derniers chiffres pour nous permettre d’apprendre davantage du guide sur l’histoire de la région (et d’apprécier aussi le champagne apporté exprès pour le voyage par Claude Lepron).

Photo : Musée gare de Montoire

Une halte sur la route à la gare de Montoire nous a donné l’occasion de visiter la petite exposition dédiée à la triste réunion en 1940 entre un Maréchal de France (Philippe Pétain) et un Caporal d’Allemagne (Adolf Hitler).

Pétain a eu le bon sens d’arriver à son destin dans une belle voiture : voici une photo contemporaine de sa Fleetwood Imperial limousine de 1939

Le tunnel traversé par le train touristique hébergea celui d’Hitler pendant son séjour à Montoire. Les portes blindées à chaque bout du tunnel pour protéger le Führer des attentions du RAF anglais sont toujours présentes.

Avenir Automobiles

Malheureusement, il n’y a en France que très peu de personnes spécialisées sur l’entretien et la réparation de voitures américaines. Mais, parmi eux, Thierry Fromet occupe une position très respectée.

Photo: James Ayres

Pour être franc, l’apparence ‘chez Thierry’ n’est pas le plus beau lieu de la Sologne. Mais Thierry connait l’importance de garder au maximum ce que les Américaines appellent parts cars : des voitures en état d’épave offrant toujours des pièces (souvent de l’intérieur de l’habitacle) introuvables ailleurs. Les alentours de son garage ressemblent, donc, un peu aux fameuses junk yards qui sont les objectifs des visites organisées par le C&LC en Amérique – mais ils sont bien truffé de Cadillac de presque toutes les générations depuis la Guerre et c’est évident que Thierry vaut un coup de fil si on cherche une pièce ‘introuvable’.

Les participants du Tour en ont profité pour poser à Thierry des questions d’entretien et de rectification et ce dernier s’est avéré être une véritable mine d’informations utiles. Mme Fromet nous a offert une très belle collation sous un petit chapiteau entouré des partscars et voitures sous réparation, dont deux Chevvies de la police de Montréal : un moment heureux, mais bien original !

Romorantin Lanthenay

Le journaliste Patrick Negro qualifie la France comme un ‘nécropole d’entreprises’ et Romorantin pèse toujours un peu sous l’ombre de la disparition du fleuron de la voiture moderne française : Matra. Matra vivait et mourra de l’originalité de ses idées et de ses compétences à les transformer en acier et polycarbonate. Peut-être son idée la plus brillante a été le Renault Espace de 1984, considéré par beaucoup de monde comme le monospace original.

Photo Wilhelm Döring

Par contre, la catastrophique Avantime (‘La voiture la plus dingue d’Europe’) marqua la chute de la compagnie (2003). Le Musée Matra-Simca reste un monument permanent de la marque et il est un trésor pour les passionnés des voitures et moteurs de course Matra : une sacre époque où la Formule 1et les ‘sports/racing’ étaient toujours les vrais laboratoires d’essai pour les nouvelles idées.

Fromagerie Riclet

Cent trente chèvres dans une vaste grange n’est pas Chanel No 5, mais nos espoirs de les rencontrer au moment de la traite ont été comblés et notre dégustation du fromage a été d’autant plus appréciée que le fromage était ‘maison’ et n’a pas voyagé plus que 200mètres. La dégustation (accompagnée par quelques bouteilles amenées exprès) sous l’ombre d’un joli arbre sur la pelouse de la fermette a été un vrai moment de détente.

Photo: Rémy Schyns

Le château Talleyrand à Valençay a été le seul ‘monument historique’ sur le parcours du Tour, mais une exception bien méritée. D’abord, le contraste entre l’architecture de la Renaissance et celle du 18ème siècle est beau et intéressante, mais à Valençay les gérants ont eu la bonne idée de sonoriser le lieu entièrement (jardins inclus) avec la musique du 18ème qui établit une atmosphère en accord avec l’histoire du palais.

Valençay est aussi doté d’un joli petit musée de voitures – plusieurs de ce que Sigrid Hoffman appelle ‘l’Age de l’Etain’ – ainsi qu’une très rare Panhard Dynamic des années 1930 : la dernière voiture ‘art déco’ d’Europe.

Montrichard

Un avantage du Club Cadillac est que parmi nos adhérents on trouve des gens qui ont des contacts importants ou qui ont des intérêts parallèles à notre passion. Ainsi, notre visite au Musée des Poids Lourds de Montrichard a été commentée et guidée par notre ami Claude Lenoir, une autorité bien connue dans le monde des véhicules utilitaires.

Photo: Wilhelm Döring

L’ingéniosité des dessinateurs devant les défis de leurs âges – nettoyer les rues des villes du fumier des cheveux, par exemple – est toujours impressionnante, même dans l’âge du Large Hadron Collider.

Domaine Jacky Marteau

Nous sommes reconnaissants envers Christian Geismar pour l’introduction aux bons vins de Pouillé. Le domaine, actuellement géré par la fille de M. Marteau, Mlle Ludovine Marteau, est très fier de la médaille d’argent gagnée cette année à la Foire d’agriculture de Paris. Nous avons bénéficié d’une dégustation complète de la gamme des vins de la viticultrice. Le crémant de Pouillé sera offert au Stand du Club à Rétromobile au mois de février. Usine l’Aigle/Musée Auto-Moto-Vélo de Châtellerault. Un rendez-vous à Loches avec un journaliste du telly local a coupé un peu le temps disponible pour une visite au Musée de Châtellerault et, au dernier moment, on a ajouté une visite au magasin de l’usine d’Aigle – des générations de fabricants de chaussures et bottes en caoutchouc mais maintenant une source de vêtements ‘sport’.

L’hébergement / les repas

Un escalier qui ‘grince’ bien : Hôtel de France à Loches [Photo : Wilhelm Döring]

Quels sont les éléments qui constituent le ‘charme’ quand on applique le mot aux hôtels ? D’abord, il faudrait un escalier principal en bois qui grince, des chambres de forme irrégulière, un bidet dans la salle de bain, des portes de chambre en bois solide mais des murs si minces qu’on entende chaque visite nocturne des voisins au WC, une plomberie qui accompagne la chanson du coq au lever du jour et, finalement, une équipe qui comprenne que vous, le passager, êtes prêt à tout pardonner pour un petit sourire et un mot d’accueil gentil et sincère.

L’Hôtel de France à La Châtre sur le Loir – un ‘hôtel de charme’ par n’importe quelle définition, et l’hébergement préféré par les géants
des 24 Heures dans les jours précédant l’arrivée de la TV et du sponsorship milliardaire.Photo : Pierre Gravel

Pour le ‘charme’ ainsi défini, donc, on peut recommander fermement les Hôtels de France à La Châtre-sur-Le Loir et à Loches et le Vieux Fusil à Soings-en-Sologne. La Châtre est un must pour les passionnés des 24 Heures du Mans car c’était l’hôtel préféré des géants de l’Age d’Or du Mans – les années 1930 à 1950 – et on y trouve dans une espèce de petit autel les photos signées par des pilotes comme Woolf Barnato, Tazio Nuvolari et Maurice Trintignant ainsi que des extraits des journaux de l’époque.

M. le Secrétaire confondit par un décor inhabituel au Vieux Fusil.
Photo : Wm Döring

L’autre hôtel ‘de France,’ celui de Loches, offre aux visiteurs (même les non-résidents) une superbe et élégante salle à manger bien à la hauteur d’une ville spécialisée en tourisme haut de gamme.

Le Vieux Fusil possède tous les éléments déjà mentionnés ainsi qu’une salle à manger décorée de sous- vêtements des dames du 19ème siècle. A vous, chère lectrice/cher lecteur de décider.

Des repas hors des hôtels, on peut recommander le Panorama (à côté du circuit du Mans) – un peu bizarre d’apparence, mais bon rapport qualité/prix – le resto troglodyte ‘Le Caveau’ à Laverdin (excellente ambiance) et le restaurant dans les anciennes écuries du Château de Fondjouan près de Mur de Sologne (service prompt et professionnel, très bon menu).

« un peu bizarre, mais….» Photo: James Ayres

La section techno

Photo: Pierre Gravel

Le Coupé de Ville de 1964 du Secrétaire avec 110.800 miles (177.000Kms) sur le compteur a roulé doucement approximativement 600Kms pendant le Driving Tour. Une note des Kms roulés entre pleins (c.120€ le plein de SP95 alterné avec SP98) a indiqué une consommation de 14Ltrs aux 100Kms. Le moteur a aussi consommé approx. 200cc de Castrol GTX 15W/40 mais aucun ajout aux niveaux des liquides dans les boites de vitesses automatiques ou assistance à la direction, ou aux freins. Les pneus ont retenu leurs 1,7 bars de pression.

En conclusion

Le consensus de tous les participants a été que le Tour est globalement un réel succès. L’emphase sur les points forts de la France – les beaux petits chemins libres de bouchons, la restauration traditionnelle française, les hébergements de charme – étaient bien appréciés. Peut-être les lieux visités étaient trop orientés vers la voiture et à l’avenir il faudra ajouter encore des centres d’intérêt pour nos compagnes. Lors du planning pour le prochain Tour, les organisateurs réfléchiront sur ce point et sur les autres suggestions faites par les participants.

Et, ‘oui’ il y aura un prochain Tour – peut-être sur l’aller-retour au Grand Rassemblement aux Pays-Bas l’année prochaine. Nous avons trouvé l’actuel marrant à planifier et un vrai plaisir à l’expérimenter. On rappelle encore les mots de Françoise Chambraud en 2010 :« Le Cadillac nous a aidé à rencontrer tant de gens gentils. »

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